La bataille finale s’est achevée dans l’arc précédent. Le roi d’Isiris est retranché dans son château, la fin de la guerre est arrivée!
Le dénouement arrive enfin. Il vient conclure cette longue épopée guerrière! L’arc présentant la fin de la guerre s’étend de la moitié du tome 23 jusqu’à la fin du tome 24. Attention, il pourrait y avoir du spoil si vous n’êtes pas rendu au tome 23.
La confrontation finale est enfin là!
C’est en tout cas c’est ce que nous promet la couverture de ce tome!
Elle représente Mikaël face à Arès, chacun ayant l’air déterminé. Avec Arès en position plus basse, symbolisant probablement sa position de challenger.
Le face à face entre Mikaël et Arès commence!
Les soldats de Cronos font battre en retraite l’armée de Mikaël qui prépare sa dernière ligne de défense. Après avoir percé le dernier bastion de l’ennemi, Arès affronte enfin son ancien camarade…
Cependant, en dépit de tous ces morts et de sa promesse de les benger, notre héros ne se résout pas à porter le coup fatal à son meilleur ami… Comment finira le duel entre les deux hommes?
Pas de toute, c’est cette confrontation qui marquera la fin de la guerre.
Pour rappel, voici la couverture du tome 23:
Il faut sauver Icarus qui est cerné par l’ennemi!!
Jouant le rôle d’appât pour faire tomber Mikaël, Icarus est en grand dangers car l’ennemi attaque de toutes ses forces.
Karnival se tient devant Barouna, le dernier rempart protégeant Icarus. Barouna réussira-t-il à défendre son roi en l’emportant sur son duel à mort contre le redoutable Karnival?
La fin de la guerre, à quoi s’attendre?
Les conséquences de l’effort de guerre
L’arc précédent nous offrait un concentré de combats épiques. Il s’achevait par la mise en déroute de l’armée isirienne.
Mais pour commencer cet arc, c’est le matricule 101 des forces spéciales Gracsio que l’on retrouve. Petit à petit, au cours des derniers arcs, Ryu Geum-Chul nous l’a introduit. Hésitant, perdu, le jeune mercenaire était attachant. Avec les derniers événements, il trouve enfin la force de s’affranchir de son roi.
Est-il sur le chemin de la rédemption? Ou est-ce juste un temps de répit avant que son destin ne le rattrape?
Cet interlude fut vraiment intéressant à lire, j’attendais depuis un moment que l’on se concentre un peu plus sur ce personnage. Et je n’ai pas été déçu! Son arc narratif est un des plus passionnants des personnages secondaires.
En parallèle de toute cela, on découvre avec Arès l’envers du décor. La monstruosité derrière les forces spéciales Gracsio, le nombre de vies touchées… La fin de la guerre est actée, mais les conséquences de cette dernière se feront sentir pendant encore longtemps…
La fin de la guerre: une dernière conquête
Pour enterrer définitivement le conflit, il faut destituer le roi ennemi. Et c’est à cela que vont s’atteler les soldats cronosiens.
On nous présente ainsi le déroulement d’un siège, celui du château d’Isiris.
Encore une fois, on est surpris par l’ingéniosité des personnages (et indirectement de l’auteur).
C’est le dernier effort à fournir, on ressent le mélange d’épuisement et de motivation au travers des pages.
Au milieu de ce siège, Arès doit s’infiltrer dans le château et ouvrir la porte aux autres soldats. Le jeune mercenaire se retrouve dans le camp ennemi et maintient tant bien que mal la porte ouverte.
Mais sa mission réelle est ailleurs. Il vise la tête du roi d’Isiris. Alors que ses amis parviennent à entrer, ils font eux aussi face à un ennemi redoutable.
Les intrigues arrivent à leur terme, beaucoup d’arcs narratifs prennent fin. L’histoire se délie et nous offre ses derniers rebondissements. Les trahisons deviennent compréhensibles, les actes sont remis en causes… Le final de l’oeuvre est incroyable.
THE VAGRANT SOLDIER ARES © 2007 by Ryu Geum-Chul
Le mot de la fin sur l’arc 14: La fin de la guerre
L’arc 13 suscitait énormément de tension, d’appréhension. La bataille finale annonçait le dénouement de l’histoire. Et comme prévu, le déroulement de la fin de la guerre était imprévisible.
L’auteur commence par nous montrer les conséquences de la guerre, puis il nous montre la confrontation finale. Beaucoup de révélations sont faites. On remet en question tout ce qu’on a lu jusqu’ici. On constate des éléments à côté desquels nous sommes passés, et on se maudit de ne pas les avoir vus. Pourrait-on parler de foreshadowing? Je pense bien oui!
Je n’en dirais pas plus à ce sujet évidemment, je vous laisse le loisir de découvrir la fin de cette histoire. Mais c’est vraiment une histoire passionnante. Elle se place sans mal dans mes manhwa préférés et dans mes shonens préférés. (Arès est un sonyun, équivalent du shonen).
Ah mais… Il reste 2 tomes à lire encore… Un épilogue? On en parle dans un prochain article alors!