Les plus puissants des pourfendeurs arrivent, pour notre plus grand bonheur. C’est le site officiel de l’anime qui nous l’avait annoncé, avec le casting associé aux piliers.
Badass et violence, un mélange qui porte ses fruits
Je le dis d’emblée, si tu n’aimes pas le gore, le sang, les têtes qui volent, ne va pas plus loin! Cet anime nous montre sans filtre la cruauté de tout l’univers créé par Koyoharu Gotōge, le génie à l’origine de l’œuvre.
Alors, pourquoi tant de violence? L’histoire se déroule dans un japon des années 1920, où humains et démons se livrent une guerre cachée. Le jeune Tanjiro Kamado en a fait les frais en perdant toute sa famille lors d’une attaque de démon. Sa soeur Nezuko a survécu, mais elle s’est transformée en démon à son tour.. Alors, Tanjiro va jurer à sa sœur et à sa défunte famille de sauver sa sœur, et de tous les venger en devenant un chasseur de démon. Un peu bateau comme scénario? Et bien que nenni!
Une légèreté qui se regarde sans fin
En effet, malgré cette univers sombre, trash et effrayant, l’anime reste léger à regarder. Pas de combats qui s’éternisent à la Dragon Ball, pas de flash-back façon Naruto. Toute l’histoire se déroule, nous plongeant dans le monde de Tanjiro, face à moultes embuches mais toujours vaillant. Les personnages sont parfaitement pensés, aucune incohérence ne plane, et on s’attache au style de combat qui est bien animé. Côté dessin, ça change d’un One Punch Man, mais les dessins un peu « old-school » nous ramènent un peu plus dans les années 1920.
Les piliers, une suicide squad pas comme les autres
A partir de l’épisode 22 de Demon Slayer, on aperçoit les fameux piliers. Ces pourfendeurs forment l’élite des troupes. C’est le site officiel de l’anime Kimetsu no Yaiba qui nous a dévoilé le casting des neuf piliers présentés. Chaque pilier a une personnalité bien propre, de la sado-maso kawai en passant par l’égocentrique bourrin, aucun genre n’est épargné!
Pour rappel, l’anime est disponible sur Wakanim, et comportera une première saison de 26 épisodes. Encore quatre épisodes avant une belle pause d’environ six mois, le temps pour nos épéistes de se reposer!