Disney a confirmé la nouvelle : Black Panther : Wakanda Forever sera bien dans nos salles, le 9 novembre prochain.
Il y a quelques semaines, on apprenait que la sortie de Black Panther : Wakanda Forever pourrait être compromise. La raison ? Un rejet de Disney de la chronologie des médias en France. Une loi française qui aurait imposé un calendrier de diffusion sur Disney + que l’entreprise n’apprécie guère. Les Américains étaient même prêts à diffuser le film directement sur Disney +. Une décision qui aurait été une perte énorme pour les cinémas français et même pour Disney. On se souvient du cas Black Widow, sorti directement sur Disney + pendant la pandémie de Covid-19 et qui avait été un flop total.
Un scénario qui aurait pu se répéter avec la suite de Black Panther. Heureusement, Disney a officiellement confirmé que ce ne sera pas le cas.
Le film de Ryan Coogler sera dans nos cinés dès le 9 novembre prochain.
Pour expliquer cette décision, Disney a expliqué que c’est une discussion avec les autorités françaises qui a permis ce changement de cap : « Les pouvoirs publics ont clairement reconnu la nécessité de moderniser la chronologie des médias, et un calendrier précis a désormais été arrêté pour en discuter. »
Si Black Panther sera bien dans nos salles, pas sûr que ce sera le cas pour d’autres films Disney
Comme le film arrive bien en salle le 9 novembre prochain, il ne sera pas disponible sur Disney+ avant le printemps 2024. C’est ce qu’a expliqué Disney dans son communiqué : « Suite à la reconnaissance par les autorités françaises de la nécessité de moderniser la chronologie des médias et d’établir un calendrier clair pour ces discussions, The Walt Disney Company ira de l’avant avec la sortie cinématographique française de Black Panther : Wakanda Forever de Marvel Studios le 9 novembre. Par conséquent, le film ne sera pas disponible sur Disney+ en France avant le printemps 2024″.
D’un autre côté, Disney affirme toujours son opposition à la chronologie des médias. Ses prochains films seront étudiés au « cas par cas » pour savoir s’ils seront diffusés dans les cinémas français. Une certaine manière de continuer à mettre la pression aux autorités françaises.