Les gars de chez CD Projekt RED ont poussé la personnalisation de personnage à son paroxysme. Cyberpunk2077 s’annonce énorme et les perfectionnistes de la personnalisation pourront s’adonner à toutes sortes de détails, même les plus intimes.
Gunfight, gore et rock’n’roll dans Cyberpunk2077
L’organisme de classification ESRB vient de rendre son verdict concernant le dernier-né du studio Polonais. Un rapport qui permet d’en apprendre énormément et également de constater que la création de personnage sera très poussée. Voici le rapport complet.
Il s’agit d’un RPG/jeu de tir à la première personne dans lequel les joueurs jouent le rôle d’un mercenaire nommé V essayant de se frayer un chemin à travers le monde ouvert de Night City. Les joueurs peuvent explorer des lieux futuristes, interagir avec les citoyens, effectuer des missions et s’engager dans des combats pour accomplir divers objectifs au fil du scénario.
Les personnages utilisent des armes de poing, des mitrailleuses, des fusils et des explosifs lors de combats frénétiques avec des humains et des ennemis améliorés cybernétiquement ; les joueurs peuvent également utiliser des armes de mêlée (par exemple, des lames montées au poignet, des membres améliorés) pour poignarder les ennemis et, dans certains cas, les démembrer.
L’action est frénétique, avec des coups de feu fréquents, des cris de douleur, des explosions et des éclaboussures de sang. Certains endroits représentent des cadavres mutilés avec des cavités thoraciques ouvertes et/ou des organes/entrailles exposés. Au cours d’une quête, les joueurs aident un personnage en enfonçant des clous dans ses mains et ses pieds ; des cris et des effets de sang accompagnent la scène.
Une personnalisation aux petits oignons, du sexe et de la drogue. Le jeu parfait !
Le jeu contient de la nudité et du contenu sexuel : les joueurs peuvent choisir un sexe et personnaliser leur personnage ; la personnalisation peut inclure des formes de seins, de fesses et de parties génitales, ainsi que différentes tailles et combinaisons de parties génitales.
Les joueurs peuvent déclencher des événements où ils ont la possibilité de se livrer à des activités sexuelles avec d’autres personnages principaux ou des prostituées – ces brèves scènes de sexe (à la première personne) représentent des personnages partiellement nus gémissants de manière suggestive tout en se déplaçant dans diverses positions. Certaines scènes contiennent de brèves représentations de mouvements de pénétration ; d’autres scènes représentent la tête d’un personnage se déplaçant vers l’entrejambe d’un partenaire.
Le jeu contient des représentations fréquentes et des références à des drogues fictives, et comprend des personnages prenant des bouffées/coups d’un inhalateur/stimulant qui modifie l’état ; une annonce publicitaire animée représente un homme qui renifle du speed. Certaines séquences permettent au joueur de boire des boissons alcoolisées à plusieurs reprises jusqu’à ce que l’écran se déforme ; le personnage du joueur peut également conduire des voitures en état d’ébriété. Les mots « f**k » et « c*nt » apparaissent dans les dialogues.
Vous l’aurez compris, Cyberpunk2077 ne sera pas un jeu pour enfant. La création de personnage offrira des possibilités assez insolites. On pourra donc créer un homme avec des seins ou un testicule plus petit que l’autre. Des détails très importants !
En tout cas on a hâte d’y jouer, rendez-vous le 17 Septembre sur PS4, Xbox et PC (et très certainement PS5, XboxX). Le 11 Juin, une grosse présentation est attendu pour patienter, Night City, on arrive !
Source : gamergen