Cette année, le Fantasia International Film Festival se tiendra du 14 Juillet au 3 Août 2022. Comme à son habitude, il se déroulera à Montréal. Pour sa 26ème édition, c’est le film Polaris de Kirsten Carthew qui aura l’honneur d’ouvrir les festivités.
Le long-métrage est, comme le décrit la page Instagram du Fantasia Festival, un éco-thriller dystopique. Il raconte l’histoire d’une jeune fille du nom de Sumi et de sa mère adoptive, une ourse polaire. Tourné au Yukon (Canada) pendant la pandémie, il met en vedette l’actrice Coréo-Canadienne Viva Lee (Deadly Class) dans le rôle de Sumi et Agee, la seule ourse polaire professionnelle de l’industrie cinématographique. La casting du film est 100% féminin et cela inclus l’ourse également !
Il [Polaris] s’inspire de l’éco-féminisme et de la nécessité d’un changement culturel significatif et durable. Le film dépeint ces thèmes avec un casting entièrement féminin, y compris l’ourse polaire
Kirsten Carthew pour Variety
Polaris, le Mad Max de l’arctique
D’après le synopsis rapporté par Variety, Polaris se déroule en 2144 dans un monde post-apocalyptique. Il suit les (més)aventures de Sumi alors que la petite fille se retrouve séparée de sa mère et capturée par un groupe d’impitoyables guerrières nomades. Alors qu’elle tente de s’échapper, elle tombe sur Frozen Girl (joué par Khamisa Wilsher (The Hollow, Funhouse, Charmed) avec qui elle nouera une alliance improbable. Avec elle, Sumi apprendra la confiance et l’amitié. Ensemble, elles tentent de devancer les chasseuses vindicatives en se guidant de la seule lumière que Sumi connaisse, l’étoile polaire (d’où le nom du film).
Polaris s’inspire de mon amour pour les histoires sur les relations entre les humains et la nature, tout en réinventant des aspects de la mythologie grecque. Tourné dans le subarctique, l’histoire se déroule dans un monde futuriste gelé né du mépris brutal des générations précédentes où n’importe quelle nation pourrait être enterrée sous la neige
Kirsten Carthew pour Variety
Pour finir, voici le trailer du film décrit par sa productrice comme étant le Mad Max de l’arctique. On y voit au début Sumi avec sa mère adoptive se roulant dans la neige puis sur son dos; marchant ensemble droit vers l’étoile polaire. Enfin, tout cela avant qu’elles ne soient malheureusement séparées et que le cauchemar commence pour la petite et féroce jeune fille.
Source : Article de Variety sur Polaris